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Avis et nouvelles associés
02/10/2023
Oproep voor bijdrage Cahiers GGG : themanummer Een geschiedenis van de alternatieve geneeskunde
OPROEP VOOR BIJDRAGE aan Cahiers Geschiedenis van de
Geneeskunde en Gezondheidszorg (Uitgeverij Garant)
Themanummer:
EEN GESCHIEDENIS VAN DE ALTERNATIEVE GENEESKUNDE
Wij zijn zeer verheugd om u uit te nodigen een bijdrage te leveren aan het Cahiers GGG’s themanummer over een geschiedenis van de alternatieve geneeskunde.
Cahiers Geschiedenis van de Geneeskunde en Gezondheidzorg is een medisch-historische boekenreeks die sinds 2013 jaarlijks verschillende nummers uitgeeft over onderwerpen aangaande medische geschiedenis, lichaamsgeschiedenis, geschiedenis van de zorg en verpleegkunde, hospitaalgeschiedenis, enzomeer. De redactie is een samengestelde Belgisch-Nederlandse redactie met specialisten uit de medische, (kunst)historische, klassieke en taalkundige achtergrond, die instaan voor de interne reviewprocedure. Omwille van het brede lezerspubliek doelen wij op teksten die algemeen toegankelijk en tegelijk wetenschappelijk onderbouwd zijn.
Het nummer over de geschiedenis van de alternatieve geneeskunde presenteert de titel als “een geschiedenis”. Cahiers GGG heeft de uitdrukkelijke taak om te vertrekken vanuit een strikt wetenschappelijk beginsel, en daarom zal het doelen de alternatieve geneeskunde, en haar premissen en praktijken, aan de tand te voelen. Hierbij willen we aandacht hebben voor zowel actuele tendenzen als de historische achtergrond binnen de medische en zorgkundige geschiedenis. Onderwerpen die aan bod komen in dit nummer zijn (maar niet uitsluitend):
- Homeopathie
- Quantum homeopathie, quantum heling
- Historische figuren (vb. Samuel Hahnemann, Sebastian Kneipp, Dr. A. Vogel, Dr. Cornelis
Moerman,...)
- Instituten aangaande alternatieve geneeskunde (vb. The European Committee for Homeopathy;
Homeopathy Research Institute)
- Integratieve geneeskunde (vb integratieve oncologie)
- Niet-westerse geneeskunde
- Holistische geneeskunde
- Farmacologie en farma-industrie van alternatieve geneesmiddelen
- Pseudowetenschappen
- Traditionele Chinese geneeskunde
- Ayurveda
- Voodoo, shamanisme en spirituele geneeskunde (vb. Christelijke geneeskunde)
- Energetische geneeskunde
- Kwakzalvers
- Regulatie en effecten mechanismes
- Wetenschappelijke studies naar alternatieve geneeskunde
- Voordelen, bedenkingen, risico’s en gevaren
Cahiers GGG wenst voor dit themanummer artikels (2000-10.000 woorden) of geïnformeerde opiniestukken (1000-3000 woorden) op te nemen. Wij verwelkomen afbeeldingen in de bijdrages, mits conform met de geldende auteurs- en portretrechten. Specifieke details in verband met de vormelijke richtlijnen en vereisten, worden gecommuniceerd na toezegging.
We streven dit themanummer te publiceren in het najaar van 2024. Naast academici nodigen we ook specialisten uit het beroepsveld, beleidsmakers, en uitmuntende studenten uit een bijdrage te leveren.
Indien interesse, ontvangen wij graag spoedig een bericht van u:
- Met een korte samenvatting of voorstel van uw bijdrage (max. 300 woorden)
- Een korte cv of biografie (max. 1 pagina)
- Gebruik makend van het adres: annemie.leemans@uantwerpen.be
- Met in de titel van de mail: “Cahiers GGG alternatieve geneeskunde”
Voor alle vragen kan u ons bereiken via annemie.leemans@uantwerpen.be.
Prof. Dr. Annemie Leemans
Namens de voltallige redactie en uitgeverij Garant
02/10/2023
SPF Santé publique - Campagne de sensibilisation sur un usage adéquat des psychotropes
Cher partenaire,
Cher collègue,
Cher expert,
Le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke et le SPF Santé publique viennent de lancer une campagne de sensibilisation à destination des professionnels de la santé, notamment les médecins généralistes, les pharmaciens et les psychologues, afin d’alerter sur un usage adéquat des psychotropes et favoriser la collaboration entre les professionnels pour en freiner la consommation inquiétante.
Pour soutenir les professionnels de la santé en leur apportant des connaissances actualisées sur les psychotropes, nous avons créé un portail web qui offre des informations fiables et fondées sur des preuves scientifiques probantes : www.usagespsychotropes.be
Comment relayer la campagne “Psychotropes : quels risques pour vos patients ? Ensemble, favorisons un usage adapté” ?
Vous pouvez nous aider à sensibiliser un maximum de professionnels en relayant la campagne sur vos réseaux sociaux.
La première publication a été publiée et vous pouvez déjà la relayer :
Sur vos pages en français :
- Facebook FR : https://bit.ly/3ZnWcMe
- LinkedIn FR : https://bit.ly/44TELnT
Sur vos pages en néerlandais :
- Facebook NL : https://bit.ly/3t4bE4k
- LinkedIn NL : https://bit.ly/3Rs41P7
Vous pouvez aussi soutenir la campagne et la relayer sur d’autres canaux et auprès de vos différents réseaux en utilisant l’un des outils à votre disposition :
- Une annonce presse A4 (format jpeg)
- Un visuel de 1920 x 1080 px (format jpeg)
- Le communiqué de presse
- Infographie qui reprend quelques chiffres clés
En outre, chaque mois, nous allons mettre le focus sur un sujet en particulier. Nous vous enverrons donc un e-mail pour vous inviter à partager régulièrement nos publications sur vos réseaux sociaux.
Nous vous remercions infiniment du soutien que vous apporterez à cette campagne, dont l’importance est essentielle pour notre pays et la santé de nos concitoyens.
Bien à vous.
Ps : Cette campagne est réalisée en collaboration avec le groupe d’experts BelPEP (Belgian Psychotropics Expert Platform) ainsi qu’avec le soutien d’organisations professionnelles parmi lesquelles la SSMG, l’APB, l’UPPCF, Domus Medica et VVKP
25/09/2023
UCL - Etude sur les liens entre normes professionnelles de la culture médicale, bien-être et comportements de santé des médecins.
Chaque médecin connait autour de lui un médecin qui souffre ou a souffert d'un burnout. Trouver des solutions est urgent.
Une réaction constructive face à cette crise est de continuer à étudier scientifiquement, et avec rigueur, la détresse des médecins.
En tant que membres de la communauté médicale, nous vous invitons à répondre à une courte enquête anonyme en ligne (<15 min) explorant des éléments abordés dans la littérature scientifique rédigée par des médecins, pour des médecins. Cette étude abordera de nouvelles perspectives inexplorées jusqu'ici et qui pourraient contribuer à comprendre pourquoi, malgré des décennies de recherches sur le bien-être des médecins au travail, si peu de choses changent.
Cette étude est développée par E.Banse, doctorante en Psychologie (Mandat FNRS – UCL) et co-promue par les professeurs Mikolajczak et De Timary (UCL). Elle a été validée par le comité éthique des Cliniques Universitaires Saint-Luc.
Lien vers l’enquête: https://sites.uclouvain.be/redcap/surveys/?s=PDD3FRL7H3ET8RMW
18/09/2023
SYMPOSIUM "Agression dans les soins"
Organisé par le Conseil national de l'Ordre des médecins
Quand?
Le 20 octobre 2023 - Accueil à partir de 13h - début du symposium à 14h
Où?
BEL Bruxelles - Avenue du Port 86/C à 1000 Bruxelles
Comment s’inscrire?
Le nombre de places au BEL Bruxelles est limité. Toutefois, une diffusion en direct est prévue.
L’accréditation de la section éthique et économie est en cours.
Veuillez vous inscrire via ce lien pour confirmer votre inscription.
Programme:
14.00 h
Accueil de M. B. Dejemeppe - président du Conseil national de l’Ordre des médecins
14.10 h
Prof. dr. M. Deneyer - vice-président du Conseil national de l’Ordre des médecins
“Point de contact agression de l’Ordre des médecins: état des lieux”
14.30 h
Prof. dr. F. Thijs - adjoint à la direction médicale “Grand hôpital de Charleroi”
“Agressivité et violence dans les services d’urgence: fatalité ou opportunité d’actions?”
14.50 h
M. G. Berden - représentant et porte-parole flamand (infirmiers et aides-soignants)
“Les clès d’une meilleure politique contre l’agressiondans les soins de santé (et au-délà)”
15.10 h
Mme. E. Maroit - psychologue clinicienne “Grand hôpital de Charleroi”
“Les répercussions psychologiques sur le personnel soignant face à l’augmentation de la violence en milieu hospitalier”
15.30 h: Pause
16.00 h
M. K. De Pauw - commissaire en chef SAT Justice
“Le diagnostic et le traitement policier et judiciaire”
16.20 h
Prof. dr. C. Mélot - vice-président du Conseil national de l’Ordre des médecins
“Violences vis-à-vis des soignants: pistes pour l’avenir”
16.40 h
Questions & réponses
Enregistrements audio des consultations
En sa séance du 16 septembre 2023, le Conseil national de l’Ordre des médecins a examiné la possibilité pour le patient d’effectuer un enregistrement audio d’une consultation.
Le patient a droit, de la part du praticien professionnel, à toutes les informations qui le concernent et peuvent lui être nécessaires pour comprendre son état de santé et son évolution probable (art. 7, loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient).
Le patient a également le droit d’être informé de la manière la plus complète possible sur les différents aspects du traitement afin de pouvoir donner son consentement éclairé, préalable et libre à toute intervention du médecin (art. 8, loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient).
Le document « Avant-projet de loi modifiant la loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient et modifiant certaines dispositions relatives aux droits du patient dans d’autres lois en matière de santé » vise à renforcer encore ce droit à l’information et à le rendre le plus performant possible à l’égard du patient. En ce qui concerne l’enregistrement audio d’une consultation, l’exposé des motifs de l’avant-projet précise que « un patient peut enregistrer l’entretien avec le professionnel des soins de santé avec son consentement afin de pouvoir réécouter ultérieurement les informations fournies » (voir exposé des motifs relatif à la loi sur les droits du patient, d.d. 19 juillet 2023).
L’avis du Conseil national est le suivant :
La relation médecin-patient est une relation de soins basée sur la confiance mutuelle.
L'enregistrement clandestin par le patient d'une consultation peut rompre la confiance du médecin et entraîner la fin de la relation thérapeutique (selon les modalités de l’article 32 du Code de déontologie médicale).
Il peut arriver que le patient indique au médecin que l’information verbale ne lui permet pas de comprendre pleinement son état de santé ou de donner un consentement éclairé (informé), par exemple en raison de la quantité d’informations ou de la gravité de l’état de santé du patient (dans le cadre d’une consultation en oncologie, etc.).
Dans ce cas, une solution peut être recherchée par le médecin et le patient, en concertation, afin de permettre à celui-ci de mieux assimiler les informations de santé, notamment en lui fournissant les informations (supplémentaires) par écrit ou en enregistrant la consultation en audio. Les deux acteurs de la relation de confiance doivent marquer leur accord quant à cet enregistrement.
Le patient et le médecin doivent être conscients que la présence d'un microphone ou d'un dispositif vidéo peut rendre la consultation moins spontanée et plus artificielle.
Refus du médecin biologiste de procéder à des analyses dont l’intérêt est discuté sur le plan scientifique et qui sont onéreuses pour le patient.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins est interrogé concernant la possibilité pour le médecin biologiste de refuser de procéder à des analyses dont l’intérêt est discuté sur le plan scientifique et qui sont onéreuses pour le patient.
1. La liberté thérapeutique du médecin trouve son fondement dans la loi[1] et dans la déontologie médicale[2].
Cette liberté n’est pas absolue[3].
Le médecin dispense des soins de qualité. Il est guidé dans ses choix par les données scientifiques pertinentes et son expertise, tout en tenant compte des préférences du patient[4]. Il agit avec dévouement et compétence dans l'intérêt du patient et le respect de ses droits, en prenant en considération les moyens globaux mis à sa disposition par la société[5].
L’autonomie professionnelle a pour corollaire que le médecin peut refuser de poser un acte de soin, demandé par un patient ou un confrère, qu’il estime inapproprié du point de vue médical.
2. Le médecin biologiste a la responsabilité de dispenser des soins de qualité. Il peut refuser pour ce motif de procéder à une analyse qu’il estime injustifiée sur le plan médical et contraire à l’intérêt du patient, notamment parce qu’elle est onéreuse et ne bénéficie pas d’un remboursement dans le cadre de l’assurance soins de santé.
La confraternité requiert qu’il en informe rapidement le médecin prescripteur en lui précisant les motivations de sa décision.
Si le médecin prescripteur estime devoir maintenir sa prescription, ce dernier assure la continuité de ses soins en orientant le patient vers un autre médecin biologiste, lequel appréciera la suite à réserver à la demande d’analyse[6].
Le médecin biologiste explique au patient les raisons médicales de son refus dans des termes nuancés et respectueux de son confrère prescripteur[7]. A la demande du patient, le médecin biologiste lui renseigne lui-même d’autres confrères.
En cas d’urgence, les divergences d’opinions médicales entre les médecins prescripteur et biologiste ne peuvent empêcher l’accès du patient aux soins que son état requiert.
[1] Art. 4 de la loi du 22 avril 2019 relative à la qualité de la pratique des soins de santé ; art. 144, § 1er, de la loi du 10 juillet 2008 sur les hôpitaux et autres établissements de soins ; art. 73, § 1er , de la loi coordonnée du 14 juillet 1994 relative à l'assurance obligatoire soins de santé et indemnités.
[2] Art. 7 du Code de déontologie médicale et son commentaire.
[3] Dans la littérature médicale, voy. not. T. Goffin, De professionele autonomie van de arts, Die Keure, 2011, n° 276 et suivants; G. Genicot, Droit médical et biomédical, Larcier, 2010, pp. 380 et suivantes, not. p. 385; H. Nys et T. Goffin, « Recente ontwikkelingen met betrekking tot de autonomie van arts en patiënt », in Medisch recht, H. Nys et S. Callens (éd.), Die Keure, Themis, 2011, vol. 63, pp. 41 et suivantes.
[4] Art. 4, al. 2, de la loi du 22 avril 2019 relative à la qualité de la pratique des soins de santé ; art. 4 du Code de déontologie médicale.
[5] Art. 73, § 1er, loi coordonnée du 14 juillet 1994 relative à l'assurance obligatoire soins de santé et indemnités.
[6] Art. 32 du Code de déontologie médicale.
[7] Art. 11 du Code de déontologie médicale.
28/08/2023
Forem - Appel à manifestation d'intérêt pour la prise en charge des visites médicales des demandeurs d’emploi
Bonjour,
Nous vous informons que le Forem élargit son réseau de médecins accrédités. Faire partie de ce réseau est une opportunité pour vous de participer à un enjeu sociétal tout en continuant vos activités actuelles.
Dans le cadre de cette collaboration, vos prestations rémunérées s’organiseront de manière modulable en fonction des besoins du Forem et de vos contraintes. Lors de vos prestations ponctuelles, vous prendrez en charge des visites médicales.
La visite médicale prise en charge par un médecin accrédité Forem vise à s’assurer que le demandeur d’emploi a les capacités physiques et/ou psychiques pour exercer les professions mentionnées dans son dossier Forem et/ou les professions qui lui sont accessibles notamment dans les métiers en pénurie ou encore celles pour lesquelles il souhaiterait se former dans l’avenir. Les informations transmises par les médecins accrédités Forem sont très utiles pour aider les conseillers Forem dans l’accompagnement de certains demandeurs d’emploi.
Retrouvez toutes les informations en ligne sur leforem.be
04/08/2023
UHasselt UAntwerpen UCL - Recherche juridique et empirique - loi du 17 mars 2013, les régimes d’incapacité
Chère Madame,
Cher Monsieur,
En décembre 2022, le SPF Justice a attribué à l’UHasselt, l’UAntwerpen et l’UCLouvain un marché public relatif à l’évaluation, au moyen d’une recherche juridique et empirique, de la loi du 17 mars 2013 réformant les régimes d’incapacité et instaurant un nouveau statut de protection conforme à la dignité humaine. Cette évaluation est prévue par l’article 224 de la loi.
La recherche est coordonnée par les professeurs Tim Wuyts, Frederik Swennen, Sofie Hennau et Nathalie Dandoy et est réalisée par Lennert Jeurissen (chercheur UHasselt) et Mathilde Hacon (chercheuse UCLouvain). La méthodologie a été approuvée par le Comité d’éthique de l’UHasselt par décision du 30 mars 2013.
L’objectif de cette recherche consiste à vérifier si les objectifs que le législateur entendait poursuivre ont été atteints en pratique et à formuler des recommandations aux fins d’améliorer le cadre législatif et sa mise en oeuvre. Il s’agira plus précisément d’évaluer d’une part l’impact de la loi sur la charge de travail des justices de paix et d’autre part le fonctionnement tant des mandats de protection extrajudiciaire que des administrations judiciaires.
L’expérience des acteurs de terrain est tout-à-fait essentielle pour cerner les pierres d’achoppements, identifier les bonnes pratiques et formuler des recommandations en vue d’une amélioration de la loi et c’est la raison pour laquelle nous sollicitons votre collaboration. Nous vous saurions gré de bien vouloir répondre à une enquête en ligne via le lien suivant : https://uhasselt.qualtrics.com/jfe/form/SV_6rsCNpNdfW6xwqy et ce au plus tard pour le 25 août 2023.
La réponse aux questions posées devrait vous prendre 15 à 20 minutes. Vous pouvez toujours interrompre le processus et y revenir par la suite. Vos réponses resteront strictement confidentielles : elles sont traitées de manière anonyme par les chercheurs.
Vous vous remercions déjà vivement pour votre précieuse participation à cette recherche.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre meilleure considération.
18/07/2023
Ministère de la Communauté française - Appel à candidatures pour la composition au sein de la Commission de Surveillance des lieux de privation de liberté des jeunes
Appel à candidatures pour la composition au sein de la Commission de Surveillance des lieux de privation de liberté des jeunes instituée en application de l''article 73 du décret du 18 janvier 2018 portant le Code de la prévention, de l''Aide à la jeunesse et de la protection de la Jeunesse et de l''article 121 du décret du 14 mars 2019 relatif à la prise en charge en Centre communautaire des jeunes ayant fait l''objet d''un dessaisissement.