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Avis et nouvelles associés
29/11/2024
Autorité de protection des données - Appel à candidats en vue de constituer une réserve d’experts
L' Autorité de protection des données attire votre attention sur un appel à candidats en vue de constituer une réserve d’experts conformément à l’article 18/1 de la loi du 3 décembre 2017 portant création de l’Autorité de protection des données.
A cet effet, vous trouverez en annexe l’extrait du Moniteur Belge du 31 octobre 2024 dans lequel est publié cet appel.
L’objectif est de permettre à l’Autorité de Protection des Données de proposer une liste d’experts au Parlement fédéral, en vue de leur nomination. Une fois les experts désignés par le Parlement, l’Autorité aura la possibilité de solliciter leurs diverses expertises sur base volontaire, dans le cadre de l’exercice de ses missions légales. La liste d’experts sera publiée et les missions d’expertise seront rémunérées.
22/11/2024
Erasmushogeschool Brussel - Bij- en nascholing Juridische opleiding Gerechtsdeskundigen
Vanaf februari 2025 organiseert de Erasmushogeschool een nieuwe juridische navorming ‘Gerechtsdeskundigen’. Het programma werd uitgewerkt in samenwerking met de Vrije Universiteit Brussel.
Hieronder kan u de digitale flyer terugvinden.
Parketmagistraten kunnen enkel experten (zoals artsen) oproepen voor advies in een gerechtszaak indien zij opgenomen zijn in het nationaal register (en erkend als deskundige). Slagen voor onderstaande navorming geeft toelating om opgenomen te kunnen worden in het register.
digitale flyer:
Met deze opleiding stomen we je klaar om aan de slag te gaan als gerechtsdeskundige.
De wetgever heeft met de wet van 10 april 2014 een nationaal register van gerechtsdeskundigen ingesteld. De vereiste kennis werd in het KB van 30 maart 2018 bepaald.
De opleiding bestaat uit 6 modules.
Module 1 behandelt het deskundigenonderzoek in burgerlijke zaken. Het gaat hierbij om de algemene beginselen van het burgerlijk procesrecht en de algemene principes van het bewijsrecht.
In module 2 wordt dieper ingegaan op de aanstelling van een deskundige in burgerlijke zaken. Dit gaat over het verloop van het onderzoek, tussenkomst van een rechter en de kosten en erelonen in burgerlijke zaken.
Module 3 en module 4 spitsen zich toe op de strafzaken. Binnen deze modules worden de algemene principes rond vooronderzoek in strafzaken en algemene principes van het bewijsrecht in strafzaken besproken. Ook de beslissing tot aanstelling van een deskundige en de wettelijke vergoeding en tarifering van prestaties in strafzaken worden besproken. Arbitrage en bemiddeling worden ook toegelicht.
Module 5 handelt over de types deskundigenonderzoeken (eenzijdig-, minnelijk deskundigenonderzoek,…) en het nationaal register.
Module 6 behandelt de aspecten rond de aansprakelijkheid, verzekering en deontologie van de gerechtsdeskundige.
Het volgen van deze juridische opleiding is de toelatingsvoorwaarde om opgenomen te worden in het nationaal register voor gerechtsdeskundigen.
De erkenningscommissie (FOD justitie) heeft (op 20 september 2024) bevestigd dat deze opleiding in haar geheel voldoet aan de voorwaarden vastgelegd in artikel 2 van het Koninklijk besluit van 30 maart 2018 betreffende de juridische opleiding zoals bedoeld in artikel 25 van de wet van 10 april 2014 en in artikel 555/8 van het Gerechtelijk Wetboek.
Doelgroep: Iedereen die als deskundige in zijn/ haar vakgebied wenst opgenomen te worden in het register voor gerechtsdeskundigen.
Sponsoring d'une équipe sportive par un médecin.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins est interrogé concernant la possibilité pour un médecin de sponsoriser une équipe sportive.
Ce n’est pas le soutien financier offert par le médecin mais la contrepartie qui en résulte à son avantage, en l’occurrence la promotion de son activité professionnelle, qui motive le présent avis.
Au sens de la loi qualité, l’information professionnelle est toute forme de communication ayant pour but direct et spécifique, peu importe le lieu, le support ou les techniques employées à cet effet, de faire connaître un professionnel des soins de santé ou de fournir des informations sur la nature de sa pratique.
Si le soutien financier du médecin, par exemple à une équipe sportive, s’accompagne d’une communication dont le but est de le faire connaître ou de fournir des informations sur sa pratique, celle-ci doit respecter les exigences déontologiques et légales relatives à l’information professionnelle (article 31, § 1er, de la loi du 22 avril 2019 relative à la qualité de la pratique des soins de santé ; article 37 du Code de déontologie médicale).
Le fait que la promotion de son activité professionnelle n’est pas la principale motivation de son support financier est sans incidence sur l’application de ces règles.
L’information professionnelle, quelle qu'en soit la forme, doit être conforme à la réalité, objective, pertinente, vérifiable, discrète et claire, outre qu’elle doit être scientifiquement fondée.
Les informations données ne peuvent pas être trompeuses ni inciter à des prestations médicales superflues.
Le médecin s'oppose à toute publicité de son activité médicale faite par la personne ou le groupe sponsorisé qui ne respecte pas ce qui précède.
Outre le respect de la loi [1], il ne peut être porté préjudice à l'honneur et à la dignité de la profession.
La conformité d’une information professionnelle aux règles de la déontologie médicale s’apprécie concrètement (article 6, 2°, de l’arrêté royal n°79 du 10 novembre 1967 relatif à l’Ordre des médecins).
En cas de difficulté, l’Ordre est à la disposition de ses membres pour répondre à leurs questions.
[1] La publicité est également réglée par le Code de droit économique (art. I.8., VI.94, VI. 95 et VI. 97 à VI. 100) ; la loi du 22 avril 2019 relative à la qualité de la pratique des soins de santé (art. 31), la loi du 23 mai 2013 réglementant les qualifications requises pour poser des actes de médecine esthétique non chirurgicale et de chirurgie esthétique et réglementant la publicité et l'information relative à ces actes ( art. 2, 8°, et 20/1), la loi du 25 mars 1964 sur les médicaments à usage humain (art. 9, § 1 er), la loi coordonnée du 14 juillet 1994 relative à l'assurance obligatoire soins de santé et indemnités (art. 127, § 2).
Le Conseil national de l’Ordre des médecins est interrogé concernant la surcharge mentale entraînée par la gestion des messages et des appels des patients.
Le Conseil national de l’Ordre des médecins est interrogé concernant la surcharge mentale entraînée par la gestion des messages et des appels des patients.
Il est fréquent que des confrères expriment subir un stress lié à la crainte de ne pas gérer de manière appropriée une information importante, noyée dans la masse des messages et des appels qui s’ajoutent à leurs consultations.
La bonne organisation de la pratique médicale, en ce compris la communication entre le médecin et ses patients, contribue à la qualité et à la sécurité des soins mais également au bien-être du médecin.
1. La limitation des voies de communication favorise la maîtrise du flux d’informations.
Le médecin détermine lui-même les canaux par lesquels ses patients peuvent le contacter.
Les spécificités techniques des moyens de communication choisis doivent permettre non seulement l’accès aux soins et leur continuité, mais aussi la sécurisation des données et la qualité des échanges.
Le site eSanté renseigne les plates-formes recommandées pour l’échange de messages et de fichiers, telles que siilo ou helena (https://www.ehealth.fgov.be/fr/page/task-force-data-technology-against-corona-).
S’agissant des échanges avec les confrères, l’intranet du site de l’Ordre des médecins (www.ordomedic.be, section « se connecter ») offre à chaque médecin inscrit au tableau une messagerie personnelle sécurisée (transferbox). Celle-ci permet de transmettre aux confrères des documents et des messages via une connexion sécurisée et cryptée de bout en bout. Ce module permet d’envoyer des messages d’une capacité maximale de 250 Mo. L’espace de stockage individuel total atteint 2 Go.
2. La finalité des moyens de communication doit être claire. Le cas échéant, il est rappelé au patient que ceux-ci n’ont pas pour but de remplacer une consultation ou de contourner un délai d’attente jugé trop long, par convenance personnelle.
Le médecin informe clairement ses patients de sa disponibilité et de la manière dont il assure la continuité des soins. En cas d’absence, un message oriente le patient vers le confrère ou la structure qui assure la continuité des soins. Il est prudent de placer une alerte « sauf situation d’urgence », vocale ou écrite, en marge des moyens de communication qui ne sont pas destinés à une demande urgente.
S’il l’estime opportun, le médecin peut de même préciser par quelle voie le contacter pour le renouvellement d’une ordonnance, une question administrative, l’annulation d’un rendez-vous, etc.
Afin d’éviter les malentendus et le mécontentement, il peut être utile de clarifier les délais de réponse, notamment durant les week-ends et congés, par un message automatique ou préenregistré.
Il peut être nécessaire de sensibiliser le patient aux règles de sécurisation à respecter pour les échanges d’informations ou de documents sensibles, notamment la nécessité de l’identifier. Des données médicales ne peuvent pas être échangées par un e-mail non sécurisé.
Toutes ces informations peuvent être données via un message préenregistré ou une réponse automatique, un avertissement sur le site web, via un affichage dans le cabinet, lors de la confirmation du rendez-vous, etc.
3. Un équilibre doit être recherché entre la disponibilité pour les interactions et pour les consultations, qui doivent être menées sereinement en limitant les causes de distraction et d’interruption.
Réserver des plages horaires dédiées spécifiquement à répondre aux messages vocaux et électroniques, favorise la concentration nécessaire à chaque tâche.
4. Enfin le développement de services, publics ou privés, accessibles via Internet peut également contribuer directement ou indirectement à structurer les contacts entre le médecin et ses patients.
Le patient est encouragé à consulter ses données directement par les réseaux d’échanges régionaux ((CoZo / Collaboratief Zorgplatform, Abrumet / Réseau Santé Bruxellois, RSW / Réseau Santé Wallon).
Un système de prise de rendez-vous en ligne, avec la possibilité pour les patients de choisir des créneaux disponibles, permet de réduire les appels téléphoniques.
5. Il est important de conserver dans le dossier médical la trace des échanges importants qui se sont tenus en-dehors d’une consultation.
12/11/2024
Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA) - Recommandations et FAQ dans le cadre de la procédure d’asile
Le Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA) est responsable du traitement et de l’examen des demandes de protection internationale introduites en Belgique. Le CGRA est légalement tenu de traiter et d’évaluer chaque demande individuellement, en prenant en considération tous les éléments pertinents, y compris la santé physique ou mentale du demandeur.
Dans la pratique, il apparaît que les éléments d’ordre médical transmis au CGRA dans le cadre de la procédure d’asile ne sont pas toujours suffisamment clairs ou complets. Ils ne peuvent dès lors contribuer efficacement aux intérêts du demandeur ou à l’examen et à la prise de décision dans le cadre de la procédure d’asile.
Pour cette raison, le CGRA a diffusé le 01/07/2024 un bref commentaire et quelques recommandations liés aux éléments médicaux dans la procédure d’asile. Ces recommandations constituent la première d’une série d’initiatives du CGRA visant à faciliter la participation à la procédure d’asile pour les demandeurs ayant des vulnérabilités physiques et/ou mentales et pour améliorer la prise de décision concernant ces demandes.
Ces recommandations sont une initiative et un produit du CGRA et sont, notamment, le résultat de consultations avec différentes instances, tels que le Conseil Supérieur de la Santé et le service médical de Fedasil.
Les annexes suivantes sont jointes au présent courriel :
- Les recommandations du CGRA – Éléments et constats d’ordre médical dans le cadre de la procédure d’asile (mise à jour octobre 2024) ;
- Une foire aux questions (FAQ) – Des explications et des réponses pour vous aider à comprendre les recommandations et répondre à vos éventuelles questions (mise à jour octobre 2024).
Nous vous conseillons de lire attentivement ces deux documents.
Sessions d’information en ligne : Suite aux sessions qui ont déjà eu lieu en juillet et septembre, le CGRA organise plusieurs sessions d’information en ligne supplémentaires via Teams pour répondre à d’éventuelles questions ou remarques concernant l’application des recommandations. Les personnes intéressées peuvent s’inscrire avant le 11/11 via le lien ci-dessous.* Il s’agit de quelques sessions d’information bilingues (alternant en néerlandais et en français) pour 35 participants par session : une session le mardi 26/11 de 10h00 à 12h00 et une session le jeudi 28/11 de 14h00 à 16h00.
Si vous ne pouvez pas participer à ces sessions en ligne et que vous avez d’autres questions concernant les recommandations ou les FAQ, vous pouvez toujours contacter les collaborateurs responsables de cette initiative à l’adresse électronique : cgra-cgvs.vulnerability@ibz.be.
Nous comptons sur votre amabilité et votre coopération pour diffuser ces informations à toutes les personnes potentiellement intéressées.
Sincères salutations,
L’équipe de projet Vulnerability du CGRA
*Avis de non-responsabilité :
Dans le cadre des inscriptions aux sessions d'information en ligne, le CGRA utilise l'outil EUSurvey de la Commission européenne.
Pour plus d'informations sur cet outil et la protection de vos données personnelles, vous pouvez consulter ce lien : EUSurvey - Privacy Statement (europa.eu)
Le CGRA traite vos données pour l'organisation des sessions d'information. Pour plus d'informations sur le traitement de vos données personnelles par le CGRA, vous pouvez consulter ce lien : Confidentialité - Données à caractère personnel | CGVS (cgra.be)
12/11/2024
Association belge de kinésithérapie vestibulaire - Journée scientifique sur le thème des cinétose 30 novembre 2024s
L’ABKV-BVVK (association belge de kinésithérapie vestibulaire) organise ce 30 novembre 2024 une journée scientifique sur le thème des cinétoses. Celle-ci se destine tant aux médecins qu’aux kinésithérapeutes.
Une accréditation a été demandée auprès de l’INAMI pour les médecins. L’accréditation pour les kinésithérapeutes est déjà accordée.
Ci-joint, vous trouverez le programme et l’affiche.
A noter que pour des raisons organisationnelles l’inscription est obligatoire (via le lien : https://forms.gle/rNYxa2tnFBgUNsSs9 )
04/11/2024
Koninklijke Academie voor Geneeskunde van België - Symposium 30 november 2024
Geachte mevrouw, geachte heer,
Geachte collega,
Ik heb het genoegen om u uit te nodigen op het symposium “De poort naar gezondheidszorg voor professionals: toelatingsexamens onder de loep” dat de Koninklijke Academie voor Geneeskunde van België organiseert te Brussel op zaterdag 30 november 2024.
Het programma van het symposium en praktische informatie vindt u op https://www.academiegeneeskund...
Deelname is gratis.
U kunt het symposium enkel ter plaatse volgen, niet online.
Registratie is verplicht, via volgende link: https://www.academiegeneeskunde.be/webform/deelname_30_november_2024 <https://www.academiegeneeskunde.be/webform/deelname_30_november_2024>
U kunt zich inschrijven tot donderdag 28 november 2024 23:59.
Aantal deelnemers beperkt tot 120.
Accreditering werd aangevraagd.
Koninklijke Academie voor Geneeskunde van België
Paleis der Academiën
Hertogsstraat 1
B-1000 Brussel
21/10/2024
COMMUNIQUE DE PRESSE: Réaction de l'Ordre des Médecins aux propos du pape sur l'avortement lors de son séjour en Belgique
L’Ordre des médecins exprime son indignation à la suite des propos tenus récemment par le pape, qualifiant les médecins pratiquant l’avortement de "tueurs à gages".
Ces déclarations offensantes sont inacceptables et ne respectent ni la dignité des professionnels de santé ni la complexité éthique des situations auxquelles ils sont confrontés.
En Belgique, les médecins agissent dans le respect des lois en vigueur et dans une démarche éthique, centrée sur la santé et le bien-être des patients.
L'Ordre rappelle que l'interruption volontaire de grossesse est un acte médical effectué dans un cadre législatif strict, avec une attention particulière portée à l’écoute et au respect des patientes et de leur entourage.
Les médecins se consacrent à leur mission avec intégrité, et il est essentiel de soutenir leur engagement plutôt que de les stigmatiser.